Les fleurs du mal s'épanouissent.
Les ronces s'enfoncent et déchirent,
Son coeur si pur qui hurle.
Son écho se répand et se répercute,
Le long du couloir de sa vie.
Elle cache ses peurs et souris.
Mais quand l'astre de la nuit ,
Se lève elle pleure à en perdre alleine.
Mais il n'y a plus de haine.
Dans son existence seul brille son absence.
Si dense que rien ne vient briser le silence.
Les ronces s'enfoncent et déchirent,
Son coeur si pur qui hurle.
Son écho se répand et se répercute,
Le long du couloir de sa vie.
Elle cache ses peurs et souris.
Mais quand l'astre de la nuit ,
Se lève elle pleure à en perdre alleine.
Mais il n'y a plus de haine.
Dans son existence seul brille son absence.
Si dense que rien ne vient briser le silence.