N0thing

De tout , de rien

Mercredi 4 septembre 2013 à 11:15

 http://n0thing.cowblog.fr/images/LESBIANbyicentaurus.jpgCa y est, enfin je suis prête pour ma nouvelle vie. Je suis officiellement Nantaise depuis moins du'une semaine. Je suis à la recherche active d'un boulot. La vie avec la femme que j'aime se passe admirablement bien.

Je grandis, j'ai grandis. C'est fou tout ce que j'ai accompli en même pas un an: mon comming out (il était temps que je me l'avoue enfin à moi même), mon démenagement de Lyon à Nantes, mon inscription dans ma nouvelle fac, mon emmenagement dans ma nouvelle vie/ville...

Alors oui j'ai encore beaucoup de choses à faire. Non ce n'est pas simple. Mais je suis heureuse. Heureuse d'être ce que je suis: une fille bien qui assume totalement sa "lesbiennitude", une femme à part entière.

C'est étrange depuis que j'accepte enfin d'être lesbienne et non pas bi je me sens libérée. Comme si toutes ces années à me mentir , à me tromper m'avaient ternies. Comme si maintenant je revivais. Je me sens bien plus libre.Je me sens plus femme. Je me sens moi. Libre d'être celle que je suis. Je suis toujours la même et pourtant je suis différente. Est ce juste le fait que j'assume? Ou le fait que je grandisse je ne sais pas . 

Antes est une ville sympa ou j'espère rencontrer de nouvelles personnes.


"On dit pas Madame on dit Mademoiselle 
C’est comme ça qu’on appelle 
Les vieilles filles, les saintes, les homosexuelles
En levant les yeux au ciel."
{Zazie, Mademoiselle}



Dimanche 9 juin 2013 à 12:53

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Tellement de boulerversement dans ma vie, tellement de choses dans ma tête. Un déménagement, un "coming out" , une nouvelle vie. Et la peur qui s'intensifie. Peur de ne pas être à la hauteur, peur de ne pas réussir (encore), peur de me tromper. Et en même temps tellement envie de partir de cette ville , de venir m'installer avec toi. Tellement envie que tous les matins et tous les soirs je me réveille et m'endorme dans tes bras. Tellement envie qu'il n'y ai plus cette distance entre nous.

Alors non je ne suis pas parfaite. Nons je ne suis pas la fille dont rêvais mes parents. Non seulement je suis lesbienne mais en plus je pars loin pour vivre avec toi (enfin pas seulement mais peu importe). Alors les week end avec mes parents sont tendus. Plus tu me manques et plus je suis à fleur de peau et plus je suis susceptible d'exploser à n'importe quel momment.


"On dit, on dit que tout n'est pas noir ou blanc mais si , je dis dis que tout est noir ou blanc mais si. Et pour calmer tout ça y'a personne d'autre que toi. TOI , TOI, TOI"{Mademoiselle K}.

J'ai envie de me retrouver avec toi, envie que nous ayons signé le bail de notre nouvel appartement, envie d'avoir déja déménager. Envie de me prendre une journée de vacances avec toi loin de tout ça. Juste toi et moi. Juste tes bras et ta douceur.

Je t'aime

Mardi 19 février 2013 à 14:40

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Dans la rue elle marchait la tête nue, le dos légèrement voûté. Ses grands yeux verts aux éclats d’or laissaient entrevoir la douleur et la peur. Elle devait avoir une quinzaine d’années, ses amies sortaient avec des garçons, allaient en boîte de nuit, pas elle. Plutôt introvertie, elle était d’une beauté inouïe : blonde, les cheveux au vent, grande, élancée, elle dégageait une force insoupçonnée. Malgré cela, elle se bornait à regarder ses pieds. Elle tenait tout contre sa poitrine son ours en peluche. Mais pas un de ces banal ours en peluche que l’on trouve dans n’importe quelle grande surface et que toutes les petites filles possèdent ! Non ! Celui-ci était spécial ; il mesurait environ soixante dix centimètres, brun, de magnifiques yeux bleus avec des inscriptions sur tout le corps. Estoile tel était son nom arborait sur le dos un magnifique dragon rouge et or brodé par la belle Eléa.
 
Elle allait, sans se soucier des regards tantôt amusés tantôt admiratifs des passants. Déterminée à regarder ses pieds, elle marchait dans les rues de M. A en juger par son aspect elle devait cheminer depuis plusieurs heures mais ne semblait pas avoir envie le moins du monde de s’arrêter pour se reposer.
Elle pensait à ses parents et à ses frères qu’elle avait laissés. Pierre et Eric tous deux âgés de vingt et de douze ans étaient adorablement protecteur, surtout l’aîné mais tout comme leur mère ils ne savaient pas. S’ils avaient su si seulement ils avaient été là si… Mais à quoi bon se torturer personne ne savait et personne ne s’aurait jamais et surtout pas son père de qui elle était excessivement proche et complice. Non, elle ne l’avait jamais dit préférant se taire pour ne pas faire de mal à ceux qu’elle aimait tant. Non ni sa famille pourtant aimante et prévenante ni ses amies étaient au courrant qu’auraient ils pu faire le mal était déjà fait son innocence lui avait été volée .En pensant à tout cela deux larmes étaient apparues aux coin de ses grands yeux. Elle n’avait jamais compris pourquoi elle pourquoi ?  POURQUOI ? Et c’est ainsi qu’elle s’était mise à maigrir à vue d’œil  prétextant un régime pour ne pas qu’on s’inquiète trop (et puis à cet age la toutes les jeunes filles ou presque sont obnubilé par leur poids). Elle s’était renfermée sur elle-même, elle qui était si ouverte et joviale était devenue taciturne, solitaire. Mais personne n’avait su. Non seul Estoile, son confident, connaissait son terrible secret. S’il avait pu parler il aurait parlé de ce voisin qui gardait les enfants. Il aurait pu raconter l’angoisse, la terreur de la jeune fille les nuits où ses parents rentraient tard et où « IL » rentrait dans sa chambre. Oui, si Estoile savait parler il aurait pu en dire des choses et ainsi expliquer le comportement de la jeune fille. Mais il ne parlait pas, enfin si, il pouvait parler mais uniquement à la jeune fille. Et puis qui prêterait attention aux dires d’une peluche ? Alors ils se taisaient, lui et sa douce Eléa. Mais cette fois ci avait été la fois de trop alors elle s’était décidée. N’écoutant que son cœur et son ami de toujours, cet ours auquel elle tenait tant, elle avait pris la décision de partir. Ne voulant pas que ses parents s’inquiètent elle avait poster une lettre qu’ils recevraient quand elle serait loin.
Prenant son courage à deux mains, elle quitta la ville pour aller dans un endroit connu d’elle seule : la forêt de C.
 
_ « Ca y est Estoile nous y sommes » dit elle en asseyant son ours contre un chêne centenaire.
 « Je suis épuisée reposons nous un peu. »
Elle ouvrit le sac qu’elle portait en bandouiller et en sortit une bouteille d’eau et un gros sandwich qu’elle coupa en deux.
_ « Tient » dit elle en tendant à Estoile une des moitiés.
Celui-ci contre toute attente se redressa pour humer ce met qu’elle semblait apprécier.
_ « Mange, la route et longue » dit il en plissant le museau « je n’en n’ai pas besoin ».
La jeune fille s’empressa de finir. Après s’être restaurée et reposée elle repris Estoiles dans ses bras pour s’enfoncer plus profondément au cœur de la forêt.
Marchant des heures sans s’arrêter ils arrivèrent près d’un lac superbe. L’eau scintillait sous les derniers rayons du soleil.
_ « C’est ici que nous passeront la nuit » dit elle.
Elle posa l’ours puis alla chercher un peu de bois sec, fit un trou, entoura le tout de grosses pierres prises près du lacet alluma un feu. Elle sortit deux couvertures et se pelotonna dans l’une d’elle et donna l’autre à l’ours. Epuisée elle s’endormie d’un seul coup. Elle ne rêva pas.
Puis comme d’habitude elle se réveilla en sueur apeurée, affolée terrifiée.
« Calme toi je suis la Eléa. » dit l’ours de sa calme voix « je te protégerai ». IL ne te touchera plus. Rendors toi, nous avons encore une journée demain, tu n’as rien à craindre, ne t’en fait pas ».
 
Apaisée par ces bienveillantes paroles la jeune fille se rendormi auprès du feu sachant qu’Estoiles veillait.
Elles se réveilla à l’aube, pris son petit déjeuner avec la nourriture prise dans le sac et alla se baigner, c’était l’été, il faisait bon. Après s’être délassée pendant quelques heures, elle se rhabilla, refit sin sac et éteignit le feu. Elle voulut reprendre son ours dans ses bras mais celui-ci protesta : «  non je t’ai assez fatigué comme ça hier, nous sommes assez loin des hommes et l’air de ce lieu me rend plus fort je continuerai en marchant à tes cotés ! »
Regardant Estoiles, elle s’aperçu qu’il avait en effet l’air plus fort, plus grand, son poil brillait et son tatouage étincelait.
 
_« Allons y »  dit elle d’un ton enthousiaste. Et ils se remirent en route ne s’arrêtant que de brefs instants pour se restaurer frugalement, les provisions s’amenuisaient, mais les deux compagnons, loin de se laisser aller semblaient joyeux. En effet, la pureté de l’air de ce lieu quelque peu étrange et magique leur procurait des effets très bénéfiques.
Devant eux se dressaient de superbes arbres ; des chênes, des hêtres et autre magnifiques espèces, qui en temps normal ne poussaient pas dans le même lieu ni dans le même climat. Par terre de la mousse amortissait le terrain escarpé. Le soleil passant à travers les feuilles et les branches teintait la forêt de milles et une couleur plus vives et plus belles les uns que les autres, rajoutant à ce paysage une touche de féerie.
 
Les deux amis n’avaient jamais rien vu d’aussi beau de leur vie.
Un parterre de fleurs diverses s’étalaient à leur pieds Il y avait la des jonquilles, des tulipes, des narcisses,des roses, des violettes toutes plus lumineuses et éclatantes les unes que les autres. Ne résistant pas la jeune fille en cueilli un superbe bouquet, quant à Estoiles il lui en fit une couronne et un collier. Ainsi parée Eléa rayonnait de beauté, de joie de calme, de bonheur et de sérénité ce qu était rare chez cette jeune fille devenue introvertie, taciturne et aigrie par ce qu’IL lui avait fait subir. Elle se laissa même à esquisser quelques pas de danse. ET ils se remirent en route dans ce décor paradisiaque Ils marchèrent des heures ayant perdu la notion du temps. Ils s’arrêtèrent quand, le jour déclinant, trop sombre pour qu’ils puissent continuer sans heurter un arbre ou un buisson, la végétation était très dense à cet endroit de la forêt.
_ « Reposons nous » dit Estoiles. « Nous avons encore du chemin à parcourir ».
_ « C’est encore loin ? » Demanda Eléa, qui malgré son enthousiasme et sa foi commençait a douter.
_ »Ne t’en fait pas petite », il l’appelait toujours ainsi bien qu’elle le dominait de plusieurs centimètres. « Nous y serons bientôt, aie confiance en moi. » Eléa, rassurée, s’assis autour du feu, en effet même si la journée avait été chaude la nuit s’annonçait, quant à elle plutôt fraîche. Puis elle s’endormie veillée pas son ami et ne fit, cette fois, que très peu de cauchemars Estoiles étant la pour la protéger et la réconforter.
Se réveillant a l’aube la jeune fille fit sa toilette dans le ruisseau environnant, puis après avoir mangés quelques fruits, ils se remirent en route. Ils marchèrent ainsi plusieurs jours ne s’arrêtant que pour manger se rafraîchir et dormir un peu. La végétation était toujours aussi belle et luxuriante mais un changement était perceptible : plus ils avançaient, plus les arbres laissaient place aux fleurs et aux buissons.
 
Après plusieurs jours de marche ils arrivèrent dans un lieu insolite.
-« Nous y sommes presque ma petite, il nous suffit de traverser cette « mer » ».En effet devant eux se dressait une vallée verdoyante ondulant au grés du vent , si bien que l’on aurait dit un océan à cela prés qu’il était vert, bleu, violet, rouge et jaune.
-« Allons y alors ! » dit Eléa.
Prenant la patte de son ours dans sa main elle se remis en route. Cet océan de verdure semblait infini. Le jour commençait à décliner et ils n’avaient plus de provisions. Mais les deux amis ne semblaient pas e et marchèrent encore longtemps avant de parvenir a ce qui ressemblait à un petit îlot.
_ »Reposons nous un peu Eléa » dit Estoiles.
Malgré son envie de continuer elle finit par céder aux sages paroles de son ami. Ils s’allongèrent l’un à coté de l’autre et s’endormirent d’un sommeil de plombs sans rêves ni cauchemars. Ils reprirent leur interminable marche. Eléa ne perdait pas espoir, elle avait confiance en son ours qu’elle aimait par dessus tout. Les jours s’écoulaient inexorablement.
 
 
Ils parvinrent enfin à leur but. L’océan de verdure et de fleurs avait laissé place ç un lieu enchanteur : une cascade coulait prés d’eux. Mais ce qui était le plus remarquable dans ce lieu si calme, si paisible c’était une superbe villa construite à même la cascade. Elle était grande mais ne possédait pas d’étages, elle ressemblait à ces maisons que l’on trouve au bord de la Méditerranée. Plusieurs arches lui donnaient un aspect cossu.
« Nous y sommes, Eléa !! Entrons, vient !!! » La jeune adolescente hésitait, elle dansait d’un pied sur l’autre remuant la tête, ce qui faisait bouger ses cheveux tombant librement sur ses épaules. Elle inspira à fond pour se donner du courage, puis s’un pas décidé se dirigea vers cette maison. Arrivée à la porte elle se retourna vers son ami : « alors tu viens tu attends quoi ? » L’ours rejoignit son amie, et, ensemble ils pénétrèrent dans l’étrange demeure.
Ce qui les surprit au prime abord fut la simplicité du mobilier. Cependant, tout était impeccable, et le soleil entrant par les baies vitrées donnait à l’ensemble une impression de calme et de sérénité.
 
_ « Nous y sommes Eléa ! Reposons nous, demain je te mènerai à amis Elle. » Les deux se dirigèrent vers la cuisine ou un festin les attendait : volailles, poissons, œufs, pommes de terre et divers légumes. Pour le dessert des fruits frais, de la crème au chocolat, du pain d’épice et du lait crémeux à la bonne température comme le préférait la jeune fille. Après s’être repus de tous ces mets, ils allèrent se coucher dans des lits propres et confortables .Le lendemain, ils étaient totalement détendus et reposés comme si ce voyage long et fastidieux n’avait été qu’un simple rêve…
_ « Viens Eléa, je vais t’emmener à Elle mais enfile d’abord ça. »
 La jeune fille regarda ce que lui tendait son compagnon, une magnifique robe de toutes les couleurs digne des plus grands contes de fées. L’ayant enfilée, l’ours lui tendit une couronne de fleurs, un collier à perles vertes et une chevillière assortie ainsi qu’une magnifique paire de boucles d’oreilles a pendants turquoises. Ainsi parée l’adolescente était resplendissante et ressemblait à une nymphe.
_ « Quitte tes chaussures tu n’en n’a plus fit pas besoin. » Lui dit Estoiles.
Eléa ne se fit pas prier et ensemble ils se dirigèrent prés de la cascade. Voyant son ours s’approcher si prés de l’eau la jeune fille eut peur mais il la rassura en lui disant : « Ne craint rien ma douce amie, écoute ton cœur. Elle le suivit, et vit avec stupeur la cascade s’écartée pour les laisser entrer.
Et c’est à ce moment qu’Elle la vit, éblouissante, somptueuse bien plus belle et réelle que dans ses rêves les plus fous. C’était une superbe licorne d’un blanc le plus pur avec une corne non par argentée, comme bien des personnes l’imaginent, mais violette clair aux multiples reflets.
_ « Vien petite fille, n’ai plus peur. » dit elle de sa mélodieuse voix. « Pour te remercier d’avoir ramener Estoiles, notre magnifique petite fée, nous t’offrons un vœu, rien qu’un seul alors réfléchit bien. »
Eléa était dubitative, elle ne comprenait pas ce que la licorne voulait dire. Son ours n’était pas une fée !!! Bien sur il était extraordinaire mais quand même cela n’avait pas de sens. Plongée ainsi dans ses pensée elle ne s’aperçu tout d’abord pas de la présence de la petite fée a la place de son fidèle ami. Elle scintillait et ses ailes étaient d’un bleu irisé.
_ « Que désires tu au plus profond de ton cœur petite fille ? Parle et tu sera exaucée. »
_ « Je veux vivre pour toujours à vos cotés » répondit Eléa d’un ton déterminé.
_ « Cela est possible si c’est ce que tu souhaites au plus profond de ton être. Mais pas sous ta forme actuelle. Qui voudrai tu devenir ? Un cheval ailé, une licorne ou bien encore une fée ? »
_ « Rien de tout cela, je voudrai devenir une panthère. 
_Une panthère. Hum. Oui cela est possible seulement les seules qui existent sont mouchetées et toi tu ne seras pas ordinaire. » A cet instant la licorne pointa sa corne sur la petite fille qui devint un magnifique panthère qui n’était point moucheté mais entièrement noire !! Toute sa fourrure était d’un noir de jais.
Elle fuya dans la foret pour y vivre pour toujours.
Si, un jour, au détour d’un chemin vous croisez une panthère noire ne pensez pas que c’est un simple animal, rappelez vous l’histoire de la belle Eléa.
 
 
                                                                                                     

Vendredi 15 février 2013 à 14:26

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Loin et pourtant proche, difficile à oublier
Beau ou terrible il peut nous faire renoncer;

A l’amour, au bonheur, le passé.
Au creux de  tes bras à jamais je voudrai rester,

Pour peu à peu laisser ta tendresse estomper
Ce qu’ils n’auraient jamais dû faire mais qu’ils ont osé!

Les douleurs nous ont forgées,
Mais trop de sang et de larmes ont été versées.

Briser le cercle infernal dans lequel on s’est enfermées
Pour à tout jamais le dépasser  et le sublimer.

Oublier est impossible car trop douloureux il est,
Mais le diluer le retrancher doucement l’effacer pour rêver!

L’innocence et l’enfance trop tôt piétiner,
Les ailes à peine réparées douloureusement arrachées;

Mais relever la tête, se reconstruire, garder le poing levé!
Et au fond de son cœur croire encore que l’on peut aimer;

Sans limites sans tricher et tout donner pour penser:
Que tout n’est pas perdu que l’on peut se laisser aller à somnoler.

Quand l’amour et la haine se mêlent tout est cassé.
Le bonheur absolu peut déranger.

Voir deux personnes identiques se toucher.
Heurte la morale alors que tuer,

Est devenu courrant alors que s’aimer
Serait il mal et interdit ? Je vais tout casser!

Mais croire en l’avenir malgré tout se raccrocher;
A la moindre parcelle d’espoir résister.

Ne pas se laisser couler,
Pour surtout ne pas sombrer.

Car le bonheur existe je l’ai trouvé !
Et j’espère à jamais le garder.

Pour toujours à jamais pour l’éternité
Car  tu m’as libéré de mes fantômes du passé !

Dimanche 10 février 2013 à 19:11

J'aimerai faire plus. J'aimerai ne pas me sentir impuissante, ne pas embêter , ne pas décevoir. J'aimerai être une autre, plus forte . J'aimerai être celle que je ne suis pas. J'aimerai ne pas décevoir mais je me déceverai toujours. Si je deviens celle que je suis je les déçois , mais si je deviens celle qu'ils aimeraient je me déçois moi. J'aimerai que celle que je suis ne leur fasse pas honte. J'aimerai prendre ta douleur. J'aimerai être la . J'aimerai tant de choses que je ne puis. Tant de questions et jamais de réponses. Ypersensibilité, je suis à fleur de peau. Je suis moi et je ne peux rien y faire


Elle craque se fissure et pleure.
Elle crie , l'apelle et a peur.
Besoin immense d'être protégée.
Besoin de ses bras, de se sentir aimée.


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