Laisse les mots choir ils n'en valent pas la peine,
La peine que tu ressens et que tu camoufle en toi .
Toi qui de ton vivant n'a jamais fait de mal,
Mal qui pourtant te transcende et te laisse absente,
Absente de ton corps qui se meurt et se fige.
Figé , le sang deviens froid, tes membres se raidissent c'est la fin.
Fin de tes souffrances, ta délivrance a sonner, plus rien ne peut l'arrêter.
Arrêter le temps, tu l'as tellement voulu, et maintenant c'est ta vie qui s'en va inéluctablement.
Inéluctablement, la mort a pris le pas.
Pas de lutte sur ton corps qui trépasse.
Plus de doute la fin est la . . .
Le dessin est aussi magnifique que le poème...
Et j'ai que ça à dire X)